samedi 27 février 2016

L’ACEF en a assez des hausses de tarifs d’électricité

26 février 2016 – Source : Journal Le Mirabel

CONSOMMATION. Une mobilisation nationale visant à dénoncer les hausses de tarifs d’électricité se tiendra, le 29 février prochain.

L’Association coopérative d’économie familiale (ACEF) Basses-Laurentides invite la population à se plonger dans la noirceur dès 18h, en marge de l’événement Le 29 février, j’allume mes chandelles! afin de décrier les hausses jugées «répétées et abusives» d’Hydro-Québec. Notons que la société d’État souhaite augmenter ses tarifs d’électricité de 1,9 % à compter du 1r avril prochain. Selon l’ACEF, ces hausses ont des impacts majeurs dans le budget des ménages québécois.

Depuis 2003, année du dégel des tarifs d’électricité, les Québécois ont subi une augmentation de leur facture d’électricité de 29,4 %, affirme l’organisme. «Ce pourcentage vient s’additionner aux autres augmentations de tarifs qui touchent plusieurs postes budgétaires tels que le transport, l’alimentation ou la garde d’enfant», observe Jacinthe Nantel, intervenante en consommation à l’ACEF des Basses-Laurentides.

Évidemment, ce sont les travailleurs à faibles et moyens revenus qui sont les plus touchés par ces augmentations. «Ces personnes, nous les rencontrons quotidiennement dans nos organismes et nous constatons à quel point ces hausses ont des conséquences néfastes dans leur vie», indique Mme Nantel. Cette dernière estime que l’électricité doit être accessible à tous, et ce, au plus bas coût possible. «Hydro-Québec est une société d’État qui appartient au peuple québécois et doit le rester», termine-t-elle.

Hydro-Québec : Un profit de 3 milliards pour la société d’État en 2015

26 février 2016 – Source : Journal Le Devoir

Hydro-Québec
Exporter plus pour enrichir le Québec
Un profit de 3 milliards pour la société d’État en 2015

Les profits d’Hydro-Québec ont une fois de plus franchi la barre des 3 milliards de dollars en 2015, en dépit d’une baisse de 178 millions par rapport aux résultats records de 2014. La société d’État doit notamment cette bonne performance à l’augmentation des revenus provenant des exportations, une avenue qu’elle priorise pour les années à venir.

La société d’État a enregistré un bénéfice net de 3,15 milliards en 2015, comparativement à 3,33 milliards en 2014. Elle a ainsi dépassé les 3 milliards de profits pour la deuxième fois de son histoire.

Les résultats financiers de 2015 permettront à Hydro-Québec de verser 2,36 milliards en dividende au gouvernement du Québec, comparativement à 2,54 milliards en 2014. « Notre objectif cette année était de faire 2,7 milliards [de bénéfice net], alors on a battu nos prévisions, a déclaré jeudi le président-directeur général, Éric Martel, au moment de dévoiler le rapport annuel de la société d’État. Nous sommes très, très contents de ces résultats. »

Hydro-Québec attribue notamment cette bonne performance à l’augmentation des exportations nettes d’électricité, qui sont passées de 25,4 TWh en 2014 à 29,3 TWh en 2015. Cette hausse s’est traduite par des revenus supplémentaires de 118 millions. Les exportations ont représenté 15 % du volume des ventes, mais 29 % du bénéfice net, notamment en raison de la faiblesse du dollar canadien.

En contrepartie, le bénéfice net a reculé en raison de la diminution des approvisionnements pour le marché du Québec et de la mise en service d’immobilisations, comme la centrale de la Romaine-2.

Alliance avec la Caisse?

La bonne tenue des exportations d’électricité renforce l’un des piliers de la croissance future d’Hydro-Québec, déterminés par M. Martel depuis son entrée en fonction en juillet dernier. « Si on veut enrichir le Québec davantage, on va devoir faire plus d’exportations, on va devoir […] être propriétaires d’actifs à l’extérieur du Québec qu’on va opérer, avec lesquels on va faire de l’argent, et on va aussi commercialiser des idées d’innovations qu’on a ici au Québec », a-t-il souligné.

En se tournant ainsi vers l’international, la société d’État rejoint les objectifs du président et chef de la direction de la Caisse de dépôt et placement du Québec, Michael Sabia, qui disait mercredi vouloir « saisir les occasions » en Australie, en Chine, en Inde ou aux États-Unis.

« Nos équipes sont en train de regarder s’il y a des projets qu’on pourrait travailler d’un commun accord, ensemble, mais évidemment, on ne s’est pas limité à la Caisse », a affirmé M. Martel.

Selon l’analyste du secteur de l’énergie Jean-François Blain, il n’est pas étonnant qu’Hydro-Québec mise sur l’international. « Le potentiel de croissance en termes de revenus et de bénéfices dans les marchés du Nord-Est américain est contrarié par la conjoncture actuelle », explique-t-il en référence à la variation des prix sur les marchés de l’énergie. Il est donc logique que la société d’État cherche à exploiter de nouveaux marchés.

Selon Éric Martel, les hivers exceptionnellement froids des deux dernières années sont intimement liés aux résultats records enregistrés par Hydro-Québec. « Faire trois milliards de bénéfice net, ce n’est pas quelque chose qu’on peut répéter année après année. On va revenir probablement dans des eaux plus normales cette année », a-t-il souligné.

M. Blain croit au contraire qu’Hydro-Québec a tous les outils en main pour continuer à dégager des bénéfices nets supérieurs à 3 milliards au cours des prochaines années.

TVA Nouvelles : Entrevue avec Éric Martel – Le PDG d’Hydro-Québec répond à nos questions

25 février 2016 – Source : TVA Nouvelles

Éric Martel, PDG d’Hydro-Québec, était de passage à TVA pour commenter ses derniers résultats financiers — un bénéfice net de plus de 3 milliards $ en 2015. Il a répondu à nos questions sur les tarifs et le service à la clientèle dans un contexte de profits.

TVA : Les consommateurs ont subi des hausses de tarif de 10 % au cours des trois dernières années. Est-ce que cette tendance va se poursuivre ?

Éric Martel : «Il y a beaucoup de confusion entre les tarifs et les profits. Les gens ne comprennent pas que l’on fasse d’aussi gros profits et qu’on augmente les tarifs. Il est important de se rappeler que les profits, étant donné qu’on est une société d’État, ne s’en vont pas dans les poches de riches actionnaires. Les profits sont retournés à Québec, redistribués dans le système de santé et le système scolaire.»

« On a une façon de gérer les tarifs. J’ai pris l’engagement, quand je suis arrivé, qu’on n’allait pas augmenter les tarifs plus hauts que l’inflation. On a pris cet engagement, c’est très important. Je suis venu à Hydro-Québec pour servir les Québécois. Et pour servir les Québécois, je dois m’assurer que les clients, qui sont tous les Québécois, on un bon service à la clientèle, mais en même temps, qu’on s’assure de protéger les tarifs. »

« On a fait une demande [de hausse de tarif] de 1,7 % et on attend la décision de la Régie de l’énergie dans les prochaines semaines. »

À propos de service à la clientèle… Hydro-Québec avait fait 53 000 débranchements au mois de septembre dernier et on parlait d’une année record en 2015. Quelle est la situation, exactement ?

« Sur les débranchements résidentiels, pour prendre les bons chiffres, ont a fait environ 60 000 coupures l’année dernière, ce qui était à peu près égal à l’année d’avant, alors tout se maintient. On comprend très bien, et on a fait des efforts à Hydro-Québec, que les deux dernières années ont été difficiles pour nos clients. Ce n’est pas une question de tarif seulement, c’est qu’on a consommé 18 ou 20 % de plus à cause des hivers extrêmement rigoureux qu’on a connus pendant deux ans consécutifs. Nous, on a été très diligents là-dessus. On a travaillé avec 288 000 clients avec lesquels on a renégocié des ententes pour que les gens puissent passer au travers de cette période-là. Avec le temps plus doux, on devrait rétablir une situation normale. »

Pourquoi les éoliennes coûtent si cher à la société d’État ?

« C’est sûr qu’on s’est ramassé dans une situation, à Hydro-Québec, où on avait plus d’énergie. Il y a eu une cassure dans l’économie, la croissance n’était pas telle que prévue. Mais l’éolien a beaucoup réduit ses prix depuis quelques années. Et l’éolien est, comme l’hydroélectricité, de l’énergie renouvelable. »

« On veut croître à l’extérieur du Québec et on souhaite apporter des joueurs du Québec avec nous, entre autres l’industrie éolienne (…). On a des capacités très importantes et on souhaite les exporter. »

Un premier sixplex au Canada qui ne coûte rien en électricité

23 février 2016 – Source : Journal de Québec

L’immeuble consommera peu d’énergie et en produira avec ses panneaux solaires

Un premier immeuble au Canada de six condos produisant autant d’énergie qu’il en consomme a été construit à Laval.

«On vise l’équilibre entre la production d’énergie du bâtiment et la consommation d’énergie du bâtiment. La première étape, c’est de réduire la consommation, ça passe par l’isolation, l’étanchéité et l’utilisation d’appareils à haute efficacité», explique Jean-François Voyer, copropriétaire de Construction Voyer avec son frère Pascal, qui a construit le bâtiment dans le quartier Duvernay à Laval.

L’électricité est produite à partir de 146 panneaux solaires installés sur l’immeuble. En été, de l’électricité est vendue à Hydro-Québec alors qu’en hiver, les condos en achètent.

À la fin de l’année, les ventes devraient être égales aux achats, si bien que cela ne coûtera rien en électricité aux locataires.

Technologie
Le sixplex inauguré hier est également doté de fenêtres à triple vitrage, d’un isolant extérieur innovateur, d’un éclairage DEL, de technologies de chauffage et de refroidissement sophistiquées.

«On a un chauffe-eau hybride qui nous permet de prendre la chaleur de la pièce et de préchauffer l’eau. Nous avons aussi trois réservoirs de stockage. Les copropriétés ont quand même leur propre chauffe-eau de 40 gallons, mais leur eau est déjà chaude quand elle arrive», explique­­ Pascal Voyer.

Temps réel
Est-ce que ce type de copropriété est fait pour tout le monde?

«Ça prend des occupants qui sont conscients du développement durable et de l’efficacité énergétique, explique Jean-François Voyer. Mais c’est tellement bien isolé, que la plus grande perte d’énergie sera la consommation d’eau chaude.»

8 % plus cher
Les condos seront vendus en moyenne entre 280 000 $ et 290 000 $, soit 8 % plus cher qu’une unité équivalente, mais l’économie d’électricité permet de récupérer l’investissement à long terme.

Problèmes avec une borne de recharge : Le compteur intelligent est il en cause?

12 février 2016 – Source : TVA Nouvelles

Les propriétaires d’un véhicule électrique soupçonnent que le compteur intelligent installé sur leur résidence pourrait être responsable des ratés de leur borne de recharge.

Ces résidents de Shawinigan expliquent que les deux appareils sont installés côte à côte. Ils croient que les transmissions par radio fréquence du compteur, récemment installé par Hydro-Québec, ont pu interférer sur le fonctionnement du chargeur.

«Avant j’avais un compteur régulier, explique Carmen Beliveau, à l’automne ils sont venus le changer. À la lecture du compteur intelligent, ça donne un signal, le courant est interrompu et la voiture sonne»

Le concepteur et fabricant de la borne de recharge ont accepté de remplacer l’appareil, mais le problème est resté entier. Il a donc été déplacé de cinq pieds, un peu plus à l’écart du compteur, grâce à une rallonge électrique. Le résultat a été probant: les problèmes ont immédiatement cessé.

Hydro-Québec se dit étonnée d’une pareille situation quant à ses compteurs de nouvelle génération.

«C’est la première fois qu’on entend parler de ça», indique la porte-parole Nathalie Vachon.

Hydro a tout de même entrepris une enquête. Un de ses ingénieurs a aussitôt contacté Elmec de Shawinigan, le fabricant et concepteur de la borne.

La société d’État indique que près de quatre millions de compteurs intelligents sont maintenant en usage. Le nombre de cas d’interférences rapporté jusqu’ici sur d’autres types d’appareil électrique est «infime», a-t-il été affirmé.

Hydro-Québec demande néanmoins à quiconque ayant pu éprouver le même genre d’ennui avec une borne de recharge de l’en informer.

Producteurs en serre: pas de baisse de tarifs d’électricité, dit Québec

4 février 2016 – Source : Journal de Québec

Les producteurs de fruits et légumes en serres ne doivent pas espérer une baisse des tarifs d’électricité pour devenir plus compétitifs, prévient le ministre de l’Énergie, Pierre Arcand.

«Il y a déjà un rabais de 40 % par rapport à ce que les serres devraient payer. S’ils ne sont pas compétitifs, ce n’est pas à cause de l’électricité, a indiqué M. Arcand à l’occasion d’une mêlée de presse. Il y a d’autres facteurs, c’est peut-être en raison du gaz naturel qui est plus cher au Québec qu’en Ontario.»

Les producteurs en serre ne sont pas du même avis. Ils réclament une réduction de tarifs d’électricité de 5,5 cents à 4 cents du kilowattheure, rapportait Le Journal dans sa livraison du 1er février. Le producteur de tomates Savoura avait d’ailleurs attribué, du moins en partie, sa faillite aux tarifs d’électricité.

D’importants projets d’investissements sont mis sur la glace en attendant les tarifs préférentiels espérés par les producteurs.

Pierre Arcand promet que sa future politique énergétique contiendra des dispositions à l’intention des producteurs maraîchers en serre. «Je pense qu’il y a des choses extrêmement intéressantes pour les producteurs en serre. Je n’appelle pas ça de l’aide, mais je pense qu’il y aura des choses avantageuses pour eux», a dit le ministre des Ressources naturelles.

Le nombre de producteurs de légumes en serre a chuté de 19 % au cours des cinq dernières années. Depuis 2010, le volume de production québécoise a fondu de 6 % à 3 % de la production canadienne, rapportait Le Journal. Les producteurs de l’Ontario ont, semble-t-il, obtenu des tarifs préférentiels pour le gaz naturel.

Il n’a pas été possible de parler au ministre de l’Agriculture, Pierre Paradis. Le syndicat des producteurs en serre n’a pas rappelé Le Journal.

Producteurs en serre

– Il y a 195 fermes de production en serre au Québec.
– Elles emploient 1496 personnes.
– Produisent 20 495 tonnes de fruits et légumes par année.
– Le nombre de fermes a diminué de 19 % depuis 2010.

Deux nouvelles initiatives importantes : Informations très utiles pour les personnes électrosensibles

2 février 2016 – Source : CQLPE / Coalition québécoise de lutte contre la pollution électromagnétique

IMPORTANT DÉVELOPPEMENT : le RAPLIQ (Regroupement des activistes pour l’inclusion au Québec) a décidé d’apporter un soutien aux personnes électrosensibles désireuses de faire une telle démarche auprès de la Commission des droits de la personne.

Tel qu’expliqué ICI, cet organisme « a pour objectif l’élimination de la discrimination faite à l’égard des personnes en situation de handicap et des obstacles limitant présentement l’exercice de leurs droits et de leurs libertés. » La procédure à suivre est expliquée ICI.

Si vous voulez déterminer si vous êtes devenu-e électrosensible ou si vous êtes en voie de le devenir, consulter cette description des symptômes d’électrosensibilité préparée en 2014 par le Pr Dominique Belpomme, une sommité mondiale en la matière. Plus de détails ICI.

Si vous avez obtenu des accommodements chez votre employeur ou dans un commerce ou un lieu offrant des services municipaux ou gouvernementaux, svp en faire part à actionehs@gmail.com, ou au (819) 674 0576. Votre exemple servira à ouvrir des portes pour d’autres.

AVIS IMPORTANT : Le 17 février 2016, le RAPLIQ a diffusé le guide Le RAPLIQ et L’ÉLECTROSENSIBILITÉ ainsi qu’un communiqué de presse en 2 versions courte et longue.)

> Lire la nouvelle en ligne sur le site de la CQLPE

De nouveaux compteurs pour les abonnés d’Hydro-Jonquière

30 janvier 2016 – Source : Radio Énergie 94.5 – Saguenay-Lac-St-jean

Hydro-Jonquière souhaite installer des compteurs avec lecture à distance pour l’ensemble de ses utilisateurs dans les prochains mois.

Dans une capsule de « Ville en action », le maire précise qu’à ce jour, 150 compteurs commerciaux ont été changés. Au terme de cette opération, 700 seront remplacés.

Après cette étape, la Ville de Saguenay souhaite installer 20 000 compteurs résidentiels.

Plusieurs plaintes d’interférences ont été formulées à Hydro-Québec quant à ces compteurs et la société ontarienne Hydro One abandonnent actuellement cette technologie sans fil dans 36 000 ménages ruraux de la province.

Le maire Jean Tremblay croit que la Ville a appris de ces erreurs.

« Les compteurs électromécaniques ne se font plus. On est content qu’Hydro-Québec ait fait le travail avant nous, nous apprendrons de leurs erreurs pour installer ces nouveaux compteurs sur le territoire d’Hydro-Jonquière »

Les Québécois rejettent de plus en plus les compteurs intelligents

27 janvier 2016 – Source : FM 93

L’opposition aux nouveaux compteurs intelligents d’Hydro-Québec est en très forte hausse.

Alors que les Québécois sont de plus en plus nombreux à refuser qu’on leur installe cet équipement, ceux qui l’acceptent se plaignent par-dessus tout d’interférences avec d’autres appareils électroniques.

Selon les chiffres obtenus par Cogeco Nouvelles, plus de 62 000 Québécois se sont prévalus depuis trois ans de la possibilité de refuser le compteur numérique communicant.

De ce nombre, quelque 45 000 l’ont fait lors des neuf premiers mois de 2015. C’est une hausse radicale par rapport aux deux années précédentes.

Par ailleurs, plus de 2000 plaintes ont été reçues en trois ans par Hydro-Québec au sujet des compteurs numériques communicants.

Le motif de plainte qui revient le plus fréquemment est l’allégation d’interférence, c’est-à-dire que des clients affirment que des équipements qu’ils utilisent sont affectés par les ondes émises par les compteurs.

Chez Hydro-Québec, on affirme avoir installé quelque 3,6 millions de compteurs numériques à ce jour et que les refus d’installation représentent moins de 2 % des cas.

On ajoute que des solutions existent pour limiter les cas d’interférences avec certains dispositifs.

Plus de 62 000 Québécois ont refusé l’installation d’un compteur intelligent chez eux

27 janvier 2016 – Source : Journal de Québec

Plus de 62 000 Québécois ont refusé qu’un compteur intelligent d’Hydro-Québec soit installé à leur domicile depuis trois ans, selon des statistiques obtenues par le FM93. Environ 3,6 millions de compteurs intelligents ont été installés à travers le Québec jusqu’à maintenant.

À l’émission Bouchard en parle, le journaliste Mathieu Boivin a expliqué qu’environ 45 000 Québécois ont dit non aux compteurs intelligents entre janvier et septembre 2015.

La société d’État aurait reçu plus de 2000 plaintes au sujet des compteurs depuis trois ans.

> Lire la nouvelle en ligne sur le site du Journal de Québec