1er octobre 2015 – Source : Ici Radio-Canada
La Ville de Saskatoon amorce jeudi l’installation de nouveaux dispositifs de transmission de données automatisés. Ils seront reliés à l’ensemble des nouveaux compteurs intelligents et en relayeront l’information à la ville.
Au cours des trois prochains mois, 42 dispositifs seront installés sur l’ensemble du territoire desservi par le réseau électrique de la ville.
Le remplacement des compteurs électriques des 60 000 clients de la ville par des compteurs intelligents a commencé en 2008. À ce jour, 60 % du projet est complété.
La ville assure que ces nouveaux compteurs sont différents de ceux qui ont été rappelés par SaskPower après que certains eurent pris feu et qu’ils ont fait l’objet d’analyses poussées.
Pour l’instant, 75 clients de la ville ont refusé l’installation des nouveaux compteurs, mais ils devront tout de même se plier à ce changement tôt ou tard, selon la Ville.
> Lire la nouvelle en ligne sur le site d’Ici Radio-Canada
dimanche 4 octobre 2015
Communiqué de presse du collectif SEMO, sur les effets néfastes sur la santé des technologies sans fil
28 septembre 2015- Source : SEMO
La croissance fulgurante des technologies sans fil ne doit pas faire oublier que les rayonnements
> Lire la nouvelle en ligne sur le site de SEMO
La croissance fulgurante des technologies sans fil ne doit pas faire oublier que les rayonnements
> Lire la nouvelle en ligne sur le site de SEMO
Compteurs d’Hydro-Québec : Près de 3,6 millions de compteurs installés
30 septembre 2015 – Source : L’Actualité Gouvernementale.ca
Hydro-Québec a fait savoir que près de 3,6 millions de compteurs nouvelle génération ont été installés partout au Québec. La phase du déploiement massif est maintenant terminée. «Le remplacement des anciens compteurs qui sont toujours en fonction sera intégré aux activités courantes de l’entreprise.» Le déploiement massif «des compteurs a débuté en février 2013 et devait s’échelonner sur une période de 5 ans. Il se termine plus tôt que prévu et s’est réalisé à l’intérieur de l’enveloppe budgétaire allouée. Le projet permettra des économies récurrentes de 81 M$. Ces gains réduiront la pression sur les tarifs d’électricité.» Un des avantages du nouveau compteur : la détection de panne en temps réel. Au total, 3,8 millions de compteurs seront en fonction sur le territoire. Les 200 000 restants seront installés dans le cadre des activités régulières de l’entreprise.
> Lire la nouvelle en ligne sur le site de L’Actualité Gouvernementale.ca
Hydro-Québec a fait savoir que près de 3,6 millions de compteurs nouvelle génération ont été installés partout au Québec. La phase du déploiement massif est maintenant terminée. «Le remplacement des anciens compteurs qui sont toujours en fonction sera intégré aux activités courantes de l’entreprise.» Le déploiement massif «des compteurs a débuté en février 2013 et devait s’échelonner sur une période de 5 ans. Il se termine plus tôt que prévu et s’est réalisé à l’intérieur de l’enveloppe budgétaire allouée. Le projet permettra des économies récurrentes de 81 M$. Ces gains réduiront la pression sur les tarifs d’électricité.» Un des avantages du nouveau compteur : la détection de panne en temps réel. Au total, 3,8 millions de compteurs seront en fonction sur le territoire. Les 200 000 restants seront installés dans le cadre des activités régulières de l’entreprise.
> Lire la nouvelle en ligne sur le site de L’Actualité Gouvernementale.ca
Hydro nie que ses employés ont transmis des informations
28 septembre 2015 – Source : Journal de Montréal
Hydro-Québec conclut que ses employés n’ont pas transmis les informations personnelles d’une cliente à des entreprises après avoir mené une enquête interne.
«Les employés d’Hydro-Québec n’ont rien à voir avec les appels de sollicitation et ont agi dans le respect du code d’éthique», a assuré la porte-parole d’Hydro-Québec, Nathalie Vachon.
Le Journal rapportait la semaine dernière que Véronique Bénard avait reçu deux appels d’entreprises de rénovation qui voulaient lui faire économiser de l’électricité quelques minutes à peine après en avoir parlé avec Hydro-Québec. La résidente de Bois-des-Filion craignait que des employés de la Société d’État aient vendu ses informations à des entreprises.
À lire aussi: Une drôle de coïncidence
Mais la porte-parole d’Hydro-Québec précise que les enquêteurs ont rencontré les employés qui ont parlé avec Mme Bénard et qu’ils ont vérifié leurs courriels et l’historique de recherche sur l’ordinateur. Ils ont également rencontré la plaignante ainsi que les entreprises qui ont sollicité Mme Bénard.
Dans un communiqué de presse, la Société d’État suggère que les entreprises ont utilisé des sources publiques et l’outil du site d’Hydro-Québec qui permet d’estimer le coût d’électricité d’une résidence pour se créer une banque de données.
Cependant, Mme Bénard assure que l’enquêteur au dossier lui a indiqué que ses recherches n’étaient pas terminées et qu’il ne pouvait pas en venir à un tel bilan. À ce sujet, la porte-parole d’Hydro-Québec a indiqué qu’ils restaient en effet certains détails à régler, mais que ceux-ci ne changeraient pas les conclusions de l’enquête.
> Lire la nouvelle en ligne sur le site du Journal de Montréal
Hydro-Québec conclut que ses employés n’ont pas transmis les informations personnelles d’une cliente à des entreprises après avoir mené une enquête interne.
«Les employés d’Hydro-Québec n’ont rien à voir avec les appels de sollicitation et ont agi dans le respect du code d’éthique», a assuré la porte-parole d’Hydro-Québec, Nathalie Vachon.
Le Journal rapportait la semaine dernière que Véronique Bénard avait reçu deux appels d’entreprises de rénovation qui voulaient lui faire économiser de l’électricité quelques minutes à peine après en avoir parlé avec Hydro-Québec. La résidente de Bois-des-Filion craignait que des employés de la Société d’État aient vendu ses informations à des entreprises.
À lire aussi: Une drôle de coïncidence
Mais la porte-parole d’Hydro-Québec précise que les enquêteurs ont rencontré les employés qui ont parlé avec Mme Bénard et qu’ils ont vérifié leurs courriels et l’historique de recherche sur l’ordinateur. Ils ont également rencontré la plaignante ainsi que les entreprises qui ont sollicité Mme Bénard.
Dans un communiqué de presse, la Société d’État suggère que les entreprises ont utilisé des sources publiques et l’outil du site d’Hydro-Québec qui permet d’estimer le coût d’électricité d’une résidence pour se créer une banque de données.
Cependant, Mme Bénard assure que l’enquêteur au dossier lui a indiqué que ses recherches n’étaient pas terminées et qu’il ne pouvait pas en venir à un tel bilan. À ce sujet, la porte-parole d’Hydro-Québec a indiqué qu’ils restaient en effet certains détails à régler, mais que ceux-ci ne changeraient pas les conclusions de l’enquête.
> Lire la nouvelle en ligne sur le site du Journal de Montréal
dimanche 27 septembre 2015
Sollicitée par des vendeurs de fenêtres et de thermopompes après avoir contacté Hydro
20 septembre 2015 – Source : Journal de Montréal
Une drôle de coïncidence
Elle est sollicitée par des vendeurs de fenêtres et de thermopompes après avoir contacté Hydro-Québec
Véronique Bénard craint que ses informations personnelles aient été transmises à des entreprises par quelqu’un chez Hydro-Québec.
Une résidente de Bois-des-Filion se demande si des entreprises de rénovation n’auraient pas des complices chez Hydro-Québec, car elle a été sollicitée par des vendeurs tout juste après avoir demandé conseil à la société d’État pour réduire sa consommation.
«Je ne peux pas croire qu’une société d’État pourrait vendre mes informations personnelles à des entreprises», dit Véronique Bénard.
Choquée, elle a d’ailleurs porté plainte au Centre antifraude du Canada.
Étonnée par la hausse importante de ses factures après l’installation d’un compteur intelligent, Mme Bénard a contacté Hydro-Québec à la fin août pour prendre une entente de paiement et obtenir des conseils pour diminuer sa consommation.
«J’ai passé 1 heure 30 au téléphone avec Hydro. Lorsque j’ai raccroché, je n’ai même pas eu le temps de me faire un café que le téléphone a sonné. C’était une compagnie de portes et fenêtres qui me demandait si je voulais économiser de l’électricité», relate-t-elle.
Pas intéressée, Mme Bénard a mis fin rapidement à la conversation. Mais quelques minutes plus tard, le téléphone sonne de nouveau.
On lui demande encore une fois si elle a des problèmes de consommation d’électricité.
Pas de logi-rénov
«Deux entreprises de suite qui me parlent de la même chose que ce que je viens de discuter avec Hydro, seulement 10 minutes après. Ça ne peut pas être le hasard», soutient Mme Bénard.
La personne au bout du fil dit alors être «mandatée par le programme gouvernemental Logi-Rénov pour la rencontrer».
Or, Logi-Rénov était un crédit d’impôt valide pour les ententes antérieures au 1er juillet. «Personne ne travaille pour Logi-Rénov. Il n’y a pas de compagnies accréditées», précise Geneviève Laurier, porte-parole de Revenu Québec.
Mais ainsi faussement mise en confiance, Mme Bénard accepte de recevoir le représentant.
«On m’a dit qu’on ne me vendrait rien, mais on a finalement tenté de me faire signer un contrat de 12 000 $ pour changer le panneau électrique et installer une thermopompe», déplore Mme Bénard.
Malgré l’insistance du vendeur, elle décide d’y penser avant de s’engager dans cette voie.
Ce dernier refuse de lui laisser l’estimation, mais lui remet sa carte au nom de Nick Savage. On y aperçoit le logo de Rénovation sans limite, une entreprise bien connue de l’Office de la protection du consommateur (OPC), où elle fait l’objet de 46 plaintes depuis 2013.
Questionné par Le Journal, Steve Benoit, le propriétaire de Rénovation sans limite a cependant assuré que le vendeur n’était plus à son emploi depuis le printemps.
« Appelez la GRC »
Quant à M. Savage, il a dit avoir fait simplement erreur avec sa carte professionnelle. Il œuvre maintenant pour Rénovation Domicili-air, où on ignorait tout de la situation.
Tous les gens contactés ont nié avoir un lien avec un employé d’Hydro-Québec.
Après la visite du vendeur, Véronique Bénard a décidé de rappeler Hydro-Québec pour leur faire part de ses doutes concernant les deux appels reçus.
«La personne m’a dit: “On est au courant, il y a un problème à l’interne. Appelez la GRC”, avant de raccrocher aussitôt», raconte-t-elle.
Le Centre antifraude a confirmé avoir reçu la plainte et qu’elle serait transférée au corps policier concerné après analyse.
Hydro lance une enquête
Préoccupée par les événements rapportés par Mme Bénard, Hydro-Québec a décidé d’ouvrir une enquête interne.
«Les préoccupations de la cliente sont prises très au sérieux par Hydro-Québec. En aucun cas, on ne vend ou ne partage ce type d’information», assure Nathalie Vachon, porte-parole de la société d’État.
Mme Vachon indique qu’Hydro-Québec s’engage à ne pas communiquer les renseignements personnels de ses clients.
Des dispositifs sont d’ailleurs mis en place pour s’assurer du respect de cette volonté.
Code d’éthique
Les représentants du service à la clientèle doivent également respecter un code d’éthique qui proscrit ce genre de pratique.
«C’est la première fois que nous entendons qu’une telle situation ait pu survenir. Hydro-Québec protège la confidentialité des renseignements personnels de ses clients. C’est très clair dans nos procédures», soutient Mme Vachon.
> Lire la nouvelle en ligne sur le site du Journal de Montréal
Une drôle de coïncidence
Elle est sollicitée par des vendeurs de fenêtres et de thermopompes après avoir contacté Hydro-Québec
Véronique Bénard craint que ses informations personnelles aient été transmises à des entreprises par quelqu’un chez Hydro-Québec.
Une résidente de Bois-des-Filion se demande si des entreprises de rénovation n’auraient pas des complices chez Hydro-Québec, car elle a été sollicitée par des vendeurs tout juste après avoir demandé conseil à la société d’État pour réduire sa consommation.
«Je ne peux pas croire qu’une société d’État pourrait vendre mes informations personnelles à des entreprises», dit Véronique Bénard.
Choquée, elle a d’ailleurs porté plainte au Centre antifraude du Canada.
Étonnée par la hausse importante de ses factures après l’installation d’un compteur intelligent, Mme Bénard a contacté Hydro-Québec à la fin août pour prendre une entente de paiement et obtenir des conseils pour diminuer sa consommation.
«J’ai passé 1 heure 30 au téléphone avec Hydro. Lorsque j’ai raccroché, je n’ai même pas eu le temps de me faire un café que le téléphone a sonné. C’était une compagnie de portes et fenêtres qui me demandait si je voulais économiser de l’électricité», relate-t-elle.
Pas intéressée, Mme Bénard a mis fin rapidement à la conversation. Mais quelques minutes plus tard, le téléphone sonne de nouveau.
On lui demande encore une fois si elle a des problèmes de consommation d’électricité.
Pas de logi-rénov
«Deux entreprises de suite qui me parlent de la même chose que ce que je viens de discuter avec Hydro, seulement 10 minutes après. Ça ne peut pas être le hasard», soutient Mme Bénard.
La personne au bout du fil dit alors être «mandatée par le programme gouvernemental Logi-Rénov pour la rencontrer».
Or, Logi-Rénov était un crédit d’impôt valide pour les ententes antérieures au 1er juillet. «Personne ne travaille pour Logi-Rénov. Il n’y a pas de compagnies accréditées», précise Geneviève Laurier, porte-parole de Revenu Québec.
Mais ainsi faussement mise en confiance, Mme Bénard accepte de recevoir le représentant.
«On m’a dit qu’on ne me vendrait rien, mais on a finalement tenté de me faire signer un contrat de 12 000 $ pour changer le panneau électrique et installer une thermopompe», déplore Mme Bénard.
Malgré l’insistance du vendeur, elle décide d’y penser avant de s’engager dans cette voie.
Ce dernier refuse de lui laisser l’estimation, mais lui remet sa carte au nom de Nick Savage. On y aperçoit le logo de Rénovation sans limite, une entreprise bien connue de l’Office de la protection du consommateur (OPC), où elle fait l’objet de 46 plaintes depuis 2013.
Questionné par Le Journal, Steve Benoit, le propriétaire de Rénovation sans limite a cependant assuré que le vendeur n’était plus à son emploi depuis le printemps.
« Appelez la GRC »
Quant à M. Savage, il a dit avoir fait simplement erreur avec sa carte professionnelle. Il œuvre maintenant pour Rénovation Domicili-air, où on ignorait tout de la situation.
Tous les gens contactés ont nié avoir un lien avec un employé d’Hydro-Québec.
Après la visite du vendeur, Véronique Bénard a décidé de rappeler Hydro-Québec pour leur faire part de ses doutes concernant les deux appels reçus.
«La personne m’a dit: “On est au courant, il y a un problème à l’interne. Appelez la GRC”, avant de raccrocher aussitôt», raconte-t-elle.
Le Centre antifraude a confirmé avoir reçu la plainte et qu’elle serait transférée au corps policier concerné après analyse.
Hydro lance une enquête
Préoccupée par les événements rapportés par Mme Bénard, Hydro-Québec a décidé d’ouvrir une enquête interne.
«Les préoccupations de la cliente sont prises très au sérieux par Hydro-Québec. En aucun cas, on ne vend ou ne partage ce type d’information», assure Nathalie Vachon, porte-parole de la société d’État.
Mme Vachon indique qu’Hydro-Québec s’engage à ne pas communiquer les renseignements personnels de ses clients.
Des dispositifs sont d’ailleurs mis en place pour s’assurer du respect de cette volonté.
Code d’éthique
Les représentants du service à la clientèle doivent également respecter un code d’éthique qui proscrit ce genre de pratique.
«C’est la première fois que nous entendons qu’une telle situation ait pu survenir. Hydro-Québec protège la confidentialité des renseignements personnels de ses clients. C’est très clair dans nos procédures», soutient Mme Vachon.
> Lire la nouvelle en ligne sur le site du Journal de Montréal
samedi 19 septembre 2015
Augmentation des plaintes de 168% chez Hydro
18 septembre 2015 – Source : Journal de Québec
Les plaintes ont explosé de 168 % contre HydroQuébec, surtout concernant les compteurs intelligents. Or, la protectrice du citoyen n’a pas le pouvoir d’enquêter sur le monopole d’état et demande qu’on élargisse son mandat. Le gouvernement a toutefois répliqué que ce serait trop cher.
> Lire la nouvelle en ligne sur le site du Journal de Québec
17 septembre 2015 – Source : Journal Le Soleil
Extrait…
Tribunaux
Raymonde Saint-Germain dénonce par ailleurs le fait que des ministères et des organismes privilégientle recours aux tribunaux pour régler des litiges avec des citoyens.
Les plaintes contre Hydro-Québec ont bondi à son bureau au cours des derniers mois, entre autres en raison des «compteurs intelligents». Malheureusement, dit Mme Saint-Germain, la société d’État échappe à son regard. Elle aimerait que cette situation soit corrigée.
> Lire la nouvelle en ligne sur le site du journal Le Soleil
Les plaintes ont explosé de 168 % contre HydroQuébec, surtout concernant les compteurs intelligents. Or, la protectrice du citoyen n’a pas le pouvoir d’enquêter sur le monopole d’état et demande qu’on élargisse son mandat. Le gouvernement a toutefois répliqué que ce serait trop cher.
> Lire la nouvelle en ligne sur le site du Journal de Québec
17 septembre 2015 – Source : Journal Le Soleil
Extrait…
Tribunaux
Raymonde Saint-Germain dénonce par ailleurs le fait que des ministères et des organismes privilégientle recours aux tribunaux pour régler des litiges avec des citoyens.
Les plaintes contre Hydro-Québec ont bondi à son bureau au cours des derniers mois, entre autres en raison des «compteurs intelligents». Malheureusement, dit Mme Saint-Germain, la société d’État échappe à son regard. Elle aimerait que cette situation soit corrigée.
> Lire la nouvelle en ligne sur le site du journal Le Soleil
Interférence – Compteurs intelligents à Nouvelle : Hydro-Québec se défend

18 septembre 2015 – Source : TVA CHAU
Dans la foulée de notre reportage sur l’interférence possible entre les compteurs intelligents et le réseau Internet à Nouvelle, une porte-parole d’Hydro-Québec affirme que les problèmes vécus par les citoyens du secteur du Village Allard étaient antérieurs à l’arrivée des compteurs de nouvelle génération.
La société d’État déclare n’avoir eu que 0,02 % de cas d’interférence sur plus de 3,3 millions de compteurs installés. Ces cas étaient principalement associés à des détecteurs de mouvements installés trop près du compteur.
Hydro-Québec a quand même procédé aux vérifications nécessaires pour répondre aux préoccupations de la municipalité et de ses citoyens. La Société d’État a procédé à une analyse du spectre dans la région, autant celui des compteurs que celui des antennes par lesquelles transite le réseau Internet des clients. Hydro-Québec a aussi tenu des rencontres avec la municipalité au cours desquelles les résultats préliminaires ont été partagés.
> Lire la nouvelle en ligne sur le site de TVA CHAU
Inscription à :
Articles (Atom)