2 août 2015 – Source : La Presse
(Les compteurs intelligents sont aussi à risque…)
Les pirates informatiques n’en ont pas qu’après votre ordinateur. Des voitures aux systèmes de sécurité des maisons, en passant par les fusils de précision, l’essor des objets connectés leur offre de nouvelles opportunités d’attaques.
Cela s’annonce comme une thématique centrale de la conférence Black Hat sur la sécurité informatique, qui démarre dimanche à Las Vegas, et du rassemblement de pirates Def Con qui suivra.
«Les objets connectés sont clairement l’une des grandes nouvelles frontières», estime Christopher Kruegel, cofondateur de la société de cybersécurité Lastline et professeur d’informatique dans une université de Californie.
Une présentation prévue à Las Vegas est par exemple consacrée à la manière de reprogrammer des fusils de précision pour en changer la cible.
Une autre devrait revenir sur le piratage ayant poussé récemment le constructeur automobile Fiat Chrysler à rappeler 1,4 million de véhicules aux États-Unis.
Des chercheurs en cybersécurité, Charlie Miller et Chris Valasek, ont affirmé avoir pris le contrôle d’une de ses Jeep Cherokee par l’intermédiaire du système électronique de divertissement embarqué.
Le conducteur, un journaliste du site spécialisé Wired, a décrit comment il avait vu la radio du véhicule commencer à fonctionner toute seule, les essuie-glaces se déclencher, le moteur ralentir puis se couper, ou la commande des freins disparaître.
Les deux chercheurs ont promis des détails à Las Vegas. «Nous montrerons la réalité du piratage des voitures en faisant la démonstration exacte de la manière dont une attaque à distance fonctionne contre un véhicule inaltéré et sortant d’usine», ont-ils annoncé.
Menace réelle
Raj Samani, vice-président chargé de la sécurité chez le fabricant de semi-conducteurs Intel, se souvient d’une ancienne démonstration sur le piratage d’un système d’accélération de voitures. L’une d’entre elles était rentrée dans un mur.
«On n’a pas encore vu d’avion tomber ou de voitures quitter la route, pour autant que nous sachions, mais ce sont les problèmes auxquels nous sommes confrontés», dit-il à l’AFP. Pour lui, «Stuxnet aurait dû créer une prise de conscience».
Stuxnet est un virus informatique impliqué en 2010 dans une série d’attaques informatiques en Iran, visant essentiellement le programme nucléaire. Beaucoup d’observateurs avaient soupçonné une implication du gouvernement américain et une tentative de sabotage des centrales pour faire dérailler les efforts de Téhéran pour se doter de la bombe atomique.
«L’idée de franchir le fossé entre le cybermonde et le monde physique est là depuis un moment», note Christopher Kruegel, rappelant les craintes régulières d’attaques contre des réseaux électriques, des usines de traitement d’eau ou d’autres infrastructures.
«Maintenant ces présentations montrent que c’est une menace réelle. Tous ces appareils sont là et à portée de main, et la sécurité est effroyable».
Les attaques comme Stuxnet sont généralement l’oeuvre de pirates sophistiqués avec beaucoup de ressources et d’argent, soutenus par des gouvernements. Mais l’explosion du nombre d’objets connectés crée des cibles faciles pour des pirates indépendants, motivés par l’appât du gain ou voulant juste s’amuser, selon les chercheurs en informatique.
Les montres, serrures, compteurs électriques ou autres objets connectés présentent aussi le risque de donner accès aux trésors de données collectées par leurs capteurs, qui contrôlent tous les aspects de la vie de leurs propriétaires.
On peut protéger les objets connectés, mais cela augmente leur coût quand les fabricants préfèreraient maintenir des prix bas. «Étant donné l’insécurité qu’on voit régulièrement, c’est clair que pour la plupart des fabricants, ce n’est pas une priorité», indique à l’AFP Cesar Cerrudo, directeur technologique chez la société de sécurité informatique IOActive.
S’il n’y a pas eu davantage de problèmes jusqu’ici, c’est en grande partie parce que «les types qui peuvent le faire n’y voient pas d’intérêt», en particulier financier, juge M. Kruegel. «Mais quand on aura un gamin qui s’ennuie ou quelqu’un qui aime créer le chaos, on aura un problème», prévient-il.
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dimanche 2 août 2015
samedi 1 août 2015
Tarifs d’électricité : Hydro-Québec moins gourmande?
31 juillet 2015 – Source : Journal Le Soleil
Une partie de la hausse est attribuable à l’obligation faite à Hydro d’acheter encore plus d’énergie éolienne, malgré ses surplus. Ces achats coûteront cette année environ 150 millions $, selon le président de la division Distribution d’Hydro- Québec, Daniel Richard.
MONTRÉAL — Si Hydro- Québec a pu limiter son appétit tarifaire à 1,9 % pour 2016, c’est en bonne partie grâce aux iPad, iPhone et GPS, selon le président de la division Distribution, Daniel Richard.
« Les nouvelles technologies ont changé nos façons de faire, a-t-il expliqué hier en conférence téléphonique. Nos véhicules sont maintenant équipés de GPS et les nouveaux compteurs permettent l’automatisation du traitement des données et une meilleure gestion des pannes.»
Hydro-Québec se montre ainsi moins gourmande cette année. Elle réclame à la Régie de l’énergie une augmentation de tarif de 1,9 % pour les consommateurs résidentiels et les petites et moyennes entreprises et de 1,2 % pour la grande industrie à compter du 1er avril prochain.
« C’est une hausse qu’on peut qualifier de légère», a commenté Daniel Richard. Elle s’explique par les températures glaciales des deux derniers hivers, « les deux hivers les plus froids de tout l’historique d’Hydro-Québec», a-t-il souligné. Ce froid intense a obligé la société à acheter à gros prix de l’énergie sur les marchés extérieurs pour satisfaire la demande en période de pointe.
Une partie de la hausse est attribuable à l’obligation faite à Hydro d’acheter encore plus d’énergie éolienne, malgré ses surplus. Ces achats coûteront cette année environ 150 millions $, a indiqué M. Richard.
Selon lui, la hausse des tarifs aurait pu être de 2 % plus élevée, soit 3,9 %, n’eût été les efforts réalisés par Hydro-Québec pour réduire ses coûts.
COMPTEURS
En plus de l’utilisation grandissante des nouvelles technologies dans ses opérations quotidiennes, Hydro a réalisé le remplacement des compteurs plus rapidement que prévu, ce qui génère des économies.
Hydro a pu notamment réduire son effectif. Depuis 2008, le nombre d’employés de la division Distribution est passé de 7689 à 5905. « La voilure a été diminuée de 23 %», a noté Daniel Richard.
La hausse demandée, à 1,9 %, est inférieure au taux d’inflation de 2,3 % prévu dans le dernier budget du Québec pour 2016. Si elle est acceptée par la Régie, cette hausse fera grimper la facture d’électricité de 1,39 $ pour un logement moyen et de 3,31 $ pour une maison moyenne, selon les calculs de la société d’État.
L’augmentation serait limitée à 1,2 % pour les grandes entreprises qui paient le tarif industriel, parce que le gouvernement les a exemptées de l’indexation annuelle du prix du bloc d’électricité patrimonial. Selon la société d’État, le coût de l’électricité restera moins élevé au Québec qu’ailleurs en Amérique du Nord, malgré cette nouvelle augmentation. Le Manitoba, la Colombie-Britannique et la Saskatchewan ont déjà annoncé des hausses de 4 % ou plus, a fait valoir Daniel Richard.
La Régie de l’énergie aura le dernier mot en mars prochain. Hydro a obtenu une hausse de tarifs de 2,9 % l’an dernier et de 4,3 % l’année précédente.
> Lire la nouvelle en ligne sur le site du Journal Le Soleil
Une partie de la hausse est attribuable à l’obligation faite à Hydro d’acheter encore plus d’énergie éolienne, malgré ses surplus. Ces achats coûteront cette année environ 150 millions $, selon le président de la division Distribution d’Hydro- Québec, Daniel Richard.
MONTRÉAL — Si Hydro- Québec a pu limiter son appétit tarifaire à 1,9 % pour 2016, c’est en bonne partie grâce aux iPad, iPhone et GPS, selon le président de la division Distribution, Daniel Richard.
« Les nouvelles technologies ont changé nos façons de faire, a-t-il expliqué hier en conférence téléphonique. Nos véhicules sont maintenant équipés de GPS et les nouveaux compteurs permettent l’automatisation du traitement des données et une meilleure gestion des pannes.»
Hydro-Québec se montre ainsi moins gourmande cette année. Elle réclame à la Régie de l’énergie une augmentation de tarif de 1,9 % pour les consommateurs résidentiels et les petites et moyennes entreprises et de 1,2 % pour la grande industrie à compter du 1er avril prochain.
« C’est une hausse qu’on peut qualifier de légère», a commenté Daniel Richard. Elle s’explique par les températures glaciales des deux derniers hivers, « les deux hivers les plus froids de tout l’historique d’Hydro-Québec», a-t-il souligné. Ce froid intense a obligé la société à acheter à gros prix de l’énergie sur les marchés extérieurs pour satisfaire la demande en période de pointe.
Une partie de la hausse est attribuable à l’obligation faite à Hydro d’acheter encore plus d’énergie éolienne, malgré ses surplus. Ces achats coûteront cette année environ 150 millions $, a indiqué M. Richard.
Selon lui, la hausse des tarifs aurait pu être de 2 % plus élevée, soit 3,9 %, n’eût été les efforts réalisés par Hydro-Québec pour réduire ses coûts.
COMPTEURS
En plus de l’utilisation grandissante des nouvelles technologies dans ses opérations quotidiennes, Hydro a réalisé le remplacement des compteurs plus rapidement que prévu, ce qui génère des économies.
Hydro a pu notamment réduire son effectif. Depuis 2008, le nombre d’employés de la division Distribution est passé de 7689 à 5905. « La voilure a été diminuée de 23 %», a noté Daniel Richard.
La hausse demandée, à 1,9 %, est inférieure au taux d’inflation de 2,3 % prévu dans le dernier budget du Québec pour 2016. Si elle est acceptée par la Régie, cette hausse fera grimper la facture d’électricité de 1,39 $ pour un logement moyen et de 3,31 $ pour une maison moyenne, selon les calculs de la société d’État.
L’augmentation serait limitée à 1,2 % pour les grandes entreprises qui paient le tarif industriel, parce que le gouvernement les a exemptées de l’indexation annuelle du prix du bloc d’électricité patrimonial. Selon la société d’État, le coût de l’électricité restera moins élevé au Québec qu’ailleurs en Amérique du Nord, malgré cette nouvelle augmentation. Le Manitoba, la Colombie-Britannique et la Saskatchewan ont déjà annoncé des hausses de 4 % ou plus, a fait valoir Daniel Richard.
La Régie de l’énergie aura le dernier mot en mars prochain. Hydro a obtenu une hausse de tarifs de 2,9 % l’an dernier et de 4,3 % l’année précédente.
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Hydro-Québec n’a pas besoin de l’énergie éolienne, clament des experts
31 juillet 2015 – Source : Argent
La demande de hausse tarifaire de 1,9% découlant notamment des coûts d’approvisionnement générés par l’achat de l’énergie éolienne irrite des analystes du milieu de l’énergie. Ils considèrent que le gouvernement garde artificiellement en vie un secteur incapable de prouver sa rentabilité.
« L’achat [d’énergie] à des producteurs privés qui n’offrent pas de puissance en période hivernale est un développement économique contre-production. On consacre une partie des revenus des ménages pour subventionner la construction d’équipements d’énergie dont on n’a pas besoin », s’offusque Jean-François Blain, analyste indépendant du secteur de l’énergie.
Il estime que le gouvernement devrait de préférence créer un Fonds régional de développement qui permettrait une diversification économique et laisserait les régions choisir leur développement d’elles-mêmes.
Des avantages
L’Association québécoise de la production d’énergie renouvelable (AQPER) est une des rares voix à soutenir le bloc des énergies renouvelables dans les sources d’approvisionnement d’Hydro-Québec.
« Lorsqu’on évalue les coûts de l’énergie éolienne, il faut prendre en considération l’ensemble des variables : la réduction des importations requises pour répondre à la demande de pointe, la valeur de la « prime verte » qu’elle obtient sur les marchés américains, l’évolution des coûts de production et les bénéfices économiques qu’elle apporte, soit en retombées, soit en économies directes grâce à la substitution. Dans ce contexte, l’approvisionnement en énergies renouvelables est un investissement largement rentable pour tous les Québécois », indique Jean-François Samray, président-directeur général de l’AQPER.
Le PDG rappelle que l’éolien est reconnu comme énergie propre par les Américains, qu’il est admissible aux Renewable Energy Certificates (RECs), une « prime verte » qui atteint les 5,0 ¢US/kWh. Par contre, Hydro-Québec n’a fait inscrire que trois parcs éoliens sur 35 au programme des RECs.
L’AQPER argumente aussi que le dernier appel d’offres a établi à 6,3 ¢/kWh le prix de l’éolien. En comparatif, le coût de l’énergie hydroélectrique produite au projet La Romaine est évalué initialement à 6,4 cents et son coût final pourrait être plus élevé.
Une énergie trop chère
L’économiste universitaire Jean-Thomas Bernard pose un regard critique face aux avantages présentés par l’AQPER.
« La prime verte n’est pas très élevée et les Américains ne l’ont pas adoptée globalement. Son impact est peu significatif », estime l’expert en énergie.
À son avis, Hydro-Québec devra soutenir ad vitam aeternam le développement éolien pour en faire du développement régional. D’autant plus que l’Ontario a lancé des projets éoliens qui sont géographiquement mieux positionnés que ceux du Québec pour y intéresser les États du centre des États-Unis.
« C’est une vision à courte vue. Pourquoi subventionner des emplois en région alors que globalement on est en surproduction ? C’est une fuite en avant qui n’a pas de solutions », complète Jean-Thomas Bernard.
> Lire la nouvelle en ligne sur le site de Argent
La demande de hausse tarifaire de 1,9% découlant notamment des coûts d’approvisionnement générés par l’achat de l’énergie éolienne irrite des analystes du milieu de l’énergie. Ils considèrent que le gouvernement garde artificiellement en vie un secteur incapable de prouver sa rentabilité.
« L’achat [d’énergie] à des producteurs privés qui n’offrent pas de puissance en période hivernale est un développement économique contre-production. On consacre une partie des revenus des ménages pour subventionner la construction d’équipements d’énergie dont on n’a pas besoin », s’offusque Jean-François Blain, analyste indépendant du secteur de l’énergie.
Il estime que le gouvernement devrait de préférence créer un Fonds régional de développement qui permettrait une diversification économique et laisserait les régions choisir leur développement d’elles-mêmes.
Des avantages
L’Association québécoise de la production d’énergie renouvelable (AQPER) est une des rares voix à soutenir le bloc des énergies renouvelables dans les sources d’approvisionnement d’Hydro-Québec.
« Lorsqu’on évalue les coûts de l’énergie éolienne, il faut prendre en considération l’ensemble des variables : la réduction des importations requises pour répondre à la demande de pointe, la valeur de la « prime verte » qu’elle obtient sur les marchés américains, l’évolution des coûts de production et les bénéfices économiques qu’elle apporte, soit en retombées, soit en économies directes grâce à la substitution. Dans ce contexte, l’approvisionnement en énergies renouvelables est un investissement largement rentable pour tous les Québécois », indique Jean-François Samray, président-directeur général de l’AQPER.
Le PDG rappelle que l’éolien est reconnu comme énergie propre par les Américains, qu’il est admissible aux Renewable Energy Certificates (RECs), une « prime verte » qui atteint les 5,0 ¢US/kWh. Par contre, Hydro-Québec n’a fait inscrire que trois parcs éoliens sur 35 au programme des RECs.
L’AQPER argumente aussi que le dernier appel d’offres a établi à 6,3 ¢/kWh le prix de l’éolien. En comparatif, le coût de l’énergie hydroélectrique produite au projet La Romaine est évalué initialement à 6,4 cents et son coût final pourrait être plus élevé.
Une énergie trop chère
L’économiste universitaire Jean-Thomas Bernard pose un regard critique face aux avantages présentés par l’AQPER.
« La prime verte n’est pas très élevée et les Américains ne l’ont pas adoptée globalement. Son impact est peu significatif », estime l’expert en énergie.
À son avis, Hydro-Québec devra soutenir ad vitam aeternam le développement éolien pour en faire du développement régional. D’autant plus que l’Ontario a lancé des projets éoliens qui sont géographiquement mieux positionnés que ceux du Québec pour y intéresser les États du centre des États-Unis.
« C’est une vision à courte vue. Pourquoi subventionner des emplois en région alors que globalement on est en surproduction ? C’est une fuite en avant qui n’a pas de solutions », complète Jean-Thomas Bernard.
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Compteurs intelligents : La Ville de Saskatoon adopte AMI d’Elster Solutions
31 juillet 2015 – Source : Market Wired
L’administration municipale a choisi les petits compteurs avec un excellent dossier de sécurité ainsi que l’approbation UL
RALEIGH, NC–(Marketwired – Jul 31, 2015) – Elster Solutions annonce aujourd’hui que la Ville de Saskatoon a choisi l’infrastructure de compteur avancé AMI EnergyAxis® d’Elster pour la cueillette de données automatisée des compteurs.
« Les problèmes concernant la sécurité des compteurs intelligents sont au coeur de notre planification, » affirme le directeur responsable du calcul et de l’électricité durable de la Ville de Saskatoon, monsieur Kevin Hudson. « L’excellent dossier de sécurité d’Elster et son succès lors des derniers tests d’UL permettent d’éliminer les obstacles pour que le conseil municipal approuve, à l’unanimité, l’exécution de ce projet. »
Entre 2009 et 2015, la Ville a déployé plus de 30 000 compteurs numériques intelligents d’Elster en remplacement des anciens compteurs électromécaniques. Même si elle a continué de lire les compteurs numériques manuellement, l’approche a permis à la ville de préparer systématiquement, de façon efficiente, une infrastructure AMI pour l’avenir.
À présent, comme la Ville a choisi la solution Energy Axis d’Elster, les compteurs intelligents déjà installés peuvent tout simplement être activés sur le réseau. Environ 30 000 nouveaux compteurs d’électricité et 70 000 compteurs d’eau, plus le logiciel et le matériel de communication, complèteront le projet.
La nouvelle solution de réseau intelligent remplacera le système de lecture manuelle des compteurs de la Ville de Saskatoon par une infrastructure de compteurs de services publics et de communication.
« Grâce à EnergyAxis, la Ville de Saskatoon peut offrir à ses citoyens la capacité de suivre leur consommation quotidienne d’eau et d’électricité, et de mieux gérer leur consommation et leurs frais, » affirme el directeur général d’Elster Metering Canada, Jack Robertson. « Le nouveau système permet aussi à la Ville de réagir plus rapidement, d’augmenter la responsabilisation de la clientèle, de rétablir le service plus rapidement, et d’offrir un système de suivi en temps réel. »
Une première phase de mise en œuvre de l’infrastructure du nouveau projet sera entamée cette année; les employés de la ville commenceront une formation sur le nouveau système cette année. La mise en œuvre complète de compteurs d’électricité devrait se poursuivre jusqu’en 2017. Les modules de communication de la consommation d’eau seront mis en œuvre d’ici 2020.
Saskatoon est la plus grande ville de la Saskatchewan.
À propos d’Elster
Elster fournit des solutions complètes pour les ”Smart Grids” et la Gestion d’Energie pour assurer l’Efficience énergétique, des améliorations techniques et économiques des réseaux de distribution publiques de l’énergie, ainsi que pour les clients industriels, les entreprises commerciales et les consommateurs résidentiels. Elster collabore de manière étroite avec ses clients et ses partenaires pour promouvoir l’interopérabilité des solutions et la mise en place de standard.
Ses offres “End-to-End” en matière d’électricité, d’eau et de gaz comprennent des compteurs/capteurs à la pointe de la technologie, des modules de communications sécurisées et des systèmes d’information de collecte, de gestion et d’analyse de données. Elster est présent dans plus de 130 pays pour la réussite de ses clients, en apportant des services d’intégration professionnels, un support technique et une formation.
> Lire la nouvelle en ligne sur le site Market Wired
L’administration municipale a choisi les petits compteurs avec un excellent dossier de sécurité ainsi que l’approbation UL
RALEIGH, NC–(Marketwired – Jul 31, 2015) – Elster Solutions annonce aujourd’hui que la Ville de Saskatoon a choisi l’infrastructure de compteur avancé AMI EnergyAxis® d’Elster pour la cueillette de données automatisée des compteurs.
« Les problèmes concernant la sécurité des compteurs intelligents sont au coeur de notre planification, » affirme le directeur responsable du calcul et de l’électricité durable de la Ville de Saskatoon, monsieur Kevin Hudson. « L’excellent dossier de sécurité d’Elster et son succès lors des derniers tests d’UL permettent d’éliminer les obstacles pour que le conseil municipal approuve, à l’unanimité, l’exécution de ce projet. »
Entre 2009 et 2015, la Ville a déployé plus de 30 000 compteurs numériques intelligents d’Elster en remplacement des anciens compteurs électromécaniques. Même si elle a continué de lire les compteurs numériques manuellement, l’approche a permis à la ville de préparer systématiquement, de façon efficiente, une infrastructure AMI pour l’avenir.
À présent, comme la Ville a choisi la solution Energy Axis d’Elster, les compteurs intelligents déjà installés peuvent tout simplement être activés sur le réseau. Environ 30 000 nouveaux compteurs d’électricité et 70 000 compteurs d’eau, plus le logiciel et le matériel de communication, complèteront le projet.
La nouvelle solution de réseau intelligent remplacera le système de lecture manuelle des compteurs de la Ville de Saskatoon par une infrastructure de compteurs de services publics et de communication.
« Grâce à EnergyAxis, la Ville de Saskatoon peut offrir à ses citoyens la capacité de suivre leur consommation quotidienne d’eau et d’électricité, et de mieux gérer leur consommation et leurs frais, » affirme el directeur général d’Elster Metering Canada, Jack Robertson. « Le nouveau système permet aussi à la Ville de réagir plus rapidement, d’augmenter la responsabilisation de la clientèle, de rétablir le service plus rapidement, et d’offrir un système de suivi en temps réel. »
Une première phase de mise en œuvre de l’infrastructure du nouveau projet sera entamée cette année; les employés de la ville commenceront une formation sur le nouveau système cette année. La mise en œuvre complète de compteurs d’électricité devrait se poursuivre jusqu’en 2017. Les modules de communication de la consommation d’eau seront mis en œuvre d’ici 2020.
Saskatoon est la plus grande ville de la Saskatchewan.
À propos d’Elster
Elster fournit des solutions complètes pour les ”Smart Grids” et la Gestion d’Energie pour assurer l’Efficience énergétique, des améliorations techniques et économiques des réseaux de distribution publiques de l’énergie, ainsi que pour les clients industriels, les entreprises commerciales et les consommateurs résidentiels. Elster collabore de manière étroite avec ses clients et ses partenaires pour promouvoir l’interopérabilité des solutions et la mise en place de standard.
Ses offres “End-to-End” en matière d’électricité, d’eau et de gaz comprennent des compteurs/capteurs à la pointe de la technologie, des modules de communications sécurisées et des systèmes d’information de collecte, de gestion et d’analyse de données. Elster est présent dans plus de 130 pays pour la réussite de ses clients, en apportant des services d’intégration professionnels, un support technique et une formation.
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Hydro-Québec veut une hausse de 1,9%
30 juillet 2015 – Source : La Presse
Avec un nouveau président, Éric Martel, qui vient de monter à bord, Hydro-Québec se montre moins gourmande cette année.
Elle réclame une augmentation de tarif de 1,9% à compter du 1er avril prochain. La demande d’augmentation soumise hier à la Régie de l’énergie précise que cette hausse s’explique par la hausse des coûts d’approvisionnement et la rigueur des deux derniers hivers. La société d’État affirme toutefois avoir fait des efforts pour augmenter sa productivité, ce qui lui a permis de limiter sa demande de hausse à 1,9%, soit un niveau inférieur au taux d’inflation de 2,3% prévu en 2016.
Si elle est acceptée par la Régie, cette hausse de 1,9% fera grimper la facture d’électricité de 1,39$ pour un logement moyen et de 3,31 $ pour une maison moyenne. L’augmentation serait limitée à 1,2% pour les grandes entreprises qui paient le tarif industriel, parce que le gouvernement les a exemptées de l’indexation annuelle du prix du bloc d’électricité patrimonial.
Hydro a obtenu une hausse de tarifs de 2,9% l’an dernier et de 4,3% l’année précédente.
> Lire la nouvelle en ligne sur le site de La Presse
Avec un nouveau président, Éric Martel, qui vient de monter à bord, Hydro-Québec se montre moins gourmande cette année.
Elle réclame une augmentation de tarif de 1,9% à compter du 1er avril prochain. La demande d’augmentation soumise hier à la Régie de l’énergie précise que cette hausse s’explique par la hausse des coûts d’approvisionnement et la rigueur des deux derniers hivers. La société d’État affirme toutefois avoir fait des efforts pour augmenter sa productivité, ce qui lui a permis de limiter sa demande de hausse à 1,9%, soit un niveau inférieur au taux d’inflation de 2,3% prévu en 2016.
Si elle est acceptée par la Régie, cette hausse de 1,9% fera grimper la facture d’électricité de 1,39$ pour un logement moyen et de 3,31 $ pour une maison moyenne. L’augmentation serait limitée à 1,2% pour les grandes entreprises qui paient le tarif industriel, parce que le gouvernement les a exemptées de l’indexation annuelle du prix du bloc d’électricité patrimonial.
Hydro a obtenu une hausse de tarifs de 2,9% l’an dernier et de 4,3% l’année précédente.
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Hydro-Québec : La CAQ déplore une nouvelle hausse des tarifs à venir
30 juillet 2015 – Source : TVA Nouvelles
La Coalition avenir Québec (CAQ) a déploré jeudi la nouvelle hausse des tarifs d’électricité demandée par Hydro-Québec.
Le porte-parole de l’aile parlementaire de la CAQ, Samuel Poulin, a rappelé que les clients de la société d’État s’étaient vu imposer des augmentations totalisant près de 10% depuis l’année 2013-2014.
Le deuxième groupe d’opposition a une fois de plus reproché au gouvernement libéral son «entêtement» à vouloir développer les parcs éoliens, qui sont en grande partie responsables de la hausse de 1,9% demandée par Hydro-Québec.
«Pour nous, c’est une situation qui est inacceptable. Les parcs éoliens n’ont pas leur place présentement au Québec», a déclaré M. Poulin.
L’attaché de presse s’est néanmoins réjoui de constater qu’Hydro avait réclamé une hausse qui ne devrait pas excéder le taux d’inflation.
Gains d’efficacité
Le ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles, Pierre Arcand, a brièvement commenté jeudi matin la nouvelle hausse demandée par Hydro-Québec. Il a soutenu que l’implantation des compteurs intelligents devrait aider la société d’État à réaliser des gains d’efficacité qui se répercuteront sur la facture des clients.
«C’est dans l’intérêt des Québécois que les coûts soient autour de l’inflation. C’est ce qu’on a dit et on espère qu’il en sera ainsi», a affirmé le ministre responsable d’Hydro-Québec.
– Avec la collaboration de Marc-André Gagnon
> Lire la nouvelle en ligne sur le site de TVA Nouvelles
La Coalition avenir Québec (CAQ) a déploré jeudi la nouvelle hausse des tarifs d’électricité demandée par Hydro-Québec.
Le porte-parole de l’aile parlementaire de la CAQ, Samuel Poulin, a rappelé que les clients de la société d’État s’étaient vu imposer des augmentations totalisant près de 10% depuis l’année 2013-2014.
Le deuxième groupe d’opposition a une fois de plus reproché au gouvernement libéral son «entêtement» à vouloir développer les parcs éoliens, qui sont en grande partie responsables de la hausse de 1,9% demandée par Hydro-Québec.
«Pour nous, c’est une situation qui est inacceptable. Les parcs éoliens n’ont pas leur place présentement au Québec», a déclaré M. Poulin.
L’attaché de presse s’est néanmoins réjoui de constater qu’Hydro avait réclamé une hausse qui ne devrait pas excéder le taux d’inflation.
Gains d’efficacité
Le ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles, Pierre Arcand, a brièvement commenté jeudi matin la nouvelle hausse demandée par Hydro-Québec. Il a soutenu que l’implantation des compteurs intelligents devrait aider la société d’État à réaliser des gains d’efficacité qui se répercuteront sur la facture des clients.
«C’est dans l’intérêt des Québécois que les coûts soient autour de l’inflation. C’est ce qu’on a dit et on espère qu’il en sera ainsi», a affirmé le ministre responsable d’Hydro-Québec.
– Avec la collaboration de Marc-André Gagnon
> Lire la nouvelle en ligne sur le site de TVA Nouvelles
1er avril 2016 : Hydro demande une hausse de 1,9%
30 juillet 2015 – Source : TVA Nouvelles
Hydro-Québec va réclamer une augmentation du prix de l’électricité de 1,9% à compter d’avril 2016 pour tous les clients résidentiels et de 1,2% pour la majorité des clients industriels.
La société d’État a lancé jeudi le processus d’analyse de sa demande à la Régie de l’énergie, qui va étudier ses arguments, entendre les avis des groupes d’intérêts et rendre une décision finale en mars 2016.
Selon Hydro-Québec, cette hausse tarifaire s’explique par l’augmentation des coûts d’approvisionnement, estimée à 2,2 %, en raison notamment de la mise en service de l’énergie éolienne (qui comptera pour 1,5 % des coûts de la hausse).
À cette hausse s’ajoutent des coûts additionnels (+1,7 %) en raison des grands froids des deux derniers hivers. Entre janvier et mars 2015, le froid persistant avait contraint Hydro-Québec à acheter 25 % plus de blocs d’énergie en comparaison des années précédentes.
«Nos tarifs demeurent les moins dispendieux, comparés à d’autres grandes villes en Amérique du Nord. Ils sont inférieurs aux demandes formulées par Hydro Manitoba et BC Hydro, qui eux s’élèvent à plus de 4%», a commenté Daniel Richard, président d’Hydro Distribution.
Par exemple, pour une résidence qui consomme 1000 kW par mois, la facture s’élève à 100 $ alors qu’elle est de 195 $ à Toronto et de 410 $ à Boston.
Si elle est autorisée telle quelle, cette hausse tarifaire représentera une augmentation de 12% en quatre ans. Pour une résidence moyenne d’une famille de quatre personnes, la facture grimpera de 3,31 $ par mois.
Gains de productivité
Daniel Richard s’est félicité des gains de productivité réalisés par Hydro-Québec, qui lui permettent de limiter «à une hausse raisonnable» sa demande à la Régie de l’énergie.
Il a attribué notamment ces gains à l’installation de compteurs de nouvelle génération dont la vitesse de déploiement engendre déjà des économies de 40 millions $.
«Nous estimons que 3,7 millions des 3,9 millions de compteurs intelligents seront installés à la fin de l’année, c’est un dossier en partie complété. Ces compteurs généreront des gains récurrents de 71 millions $ à la fin de 2016», a-t-il précisé.
Avec les autres gains attribuables à une hausse de la demande de la clientèle, Hydro-Québec entrevoit des revenus améliorés de %.
Pertes d’emplois
L’installation de compteurs de nouvelle génération pèse lourd sur les emplois des releveurs de données. Quelque 1800 emplois sont perdus et un grand nombre de ceux qui sont protégés sont transférés à d’autres activités, comme au sein d’un centre de gestion des activités de distribution ou d’un centre d’appels qui devraient améliorer le traitement des données.
«75% des emplois réduits étaient reliés aux activités de support administratif», a fait savoir Daniel Richard. Il a assuré que tous les employés relocalisés sont payés à travailler et non à attendre un poste disponible pour eux au sein de l’organisation.
> Lire la nouvelle en ligne sur le site de TVA Nouvelles
Hydro-Québec va réclamer une augmentation du prix de l’électricité de 1,9% à compter d’avril 2016 pour tous les clients résidentiels et de 1,2% pour la majorité des clients industriels.
La société d’État a lancé jeudi le processus d’analyse de sa demande à la Régie de l’énergie, qui va étudier ses arguments, entendre les avis des groupes d’intérêts et rendre une décision finale en mars 2016.
Selon Hydro-Québec, cette hausse tarifaire s’explique par l’augmentation des coûts d’approvisionnement, estimée à 2,2 %, en raison notamment de la mise en service de l’énergie éolienne (qui comptera pour 1,5 % des coûts de la hausse).
À cette hausse s’ajoutent des coûts additionnels (+1,7 %) en raison des grands froids des deux derniers hivers. Entre janvier et mars 2015, le froid persistant avait contraint Hydro-Québec à acheter 25 % plus de blocs d’énergie en comparaison des années précédentes.
«Nos tarifs demeurent les moins dispendieux, comparés à d’autres grandes villes en Amérique du Nord. Ils sont inférieurs aux demandes formulées par Hydro Manitoba et BC Hydro, qui eux s’élèvent à plus de 4%», a commenté Daniel Richard, président d’Hydro Distribution.
Par exemple, pour une résidence qui consomme 1000 kW par mois, la facture s’élève à 100 $ alors qu’elle est de 195 $ à Toronto et de 410 $ à Boston.
Si elle est autorisée telle quelle, cette hausse tarifaire représentera une augmentation de 12% en quatre ans. Pour une résidence moyenne d’une famille de quatre personnes, la facture grimpera de 3,31 $ par mois.
Gains de productivité
Daniel Richard s’est félicité des gains de productivité réalisés par Hydro-Québec, qui lui permettent de limiter «à une hausse raisonnable» sa demande à la Régie de l’énergie.
Il a attribué notamment ces gains à l’installation de compteurs de nouvelle génération dont la vitesse de déploiement engendre déjà des économies de 40 millions $.
«Nous estimons que 3,7 millions des 3,9 millions de compteurs intelligents seront installés à la fin de l’année, c’est un dossier en partie complété. Ces compteurs généreront des gains récurrents de 71 millions $ à la fin de 2016», a-t-il précisé.
Avec les autres gains attribuables à une hausse de la demande de la clientèle, Hydro-Québec entrevoit des revenus améliorés de %.
Pertes d’emplois
L’installation de compteurs de nouvelle génération pèse lourd sur les emplois des releveurs de données. Quelque 1800 emplois sont perdus et un grand nombre de ceux qui sont protégés sont transférés à d’autres activités, comme au sein d’un centre de gestion des activités de distribution ou d’un centre d’appels qui devraient améliorer le traitement des données.
«75% des emplois réduits étaient reliés aux activités de support administratif», a fait savoir Daniel Richard. Il a assuré que tous les employés relocalisés sont payés à travailler et non à attendre un poste disponible pour eux au sein de l’organisation.
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