lundi 10 août 2015

Les dangers des objets connectés

10 août 2015 – Source : Journal Le Soleil

LAS VEGAS — La récente prise de contrôle médiatisée d’une Jeep grâce à une faille de son système électronique n’est qu’un aperçu des dangers sur la route menant à un environnement dominé par des objets connectés.

Les possibilités de voler les données, voire de contrôler totalement des appareils rendus «intelligents» par une connexion Internet sont un thème central des présentations à la conférence Black Hat sur la sécurité, qui s’est tenue la semaine dernière à Las Vegas.

« Presque aucun des fabricants d’appareils connectés n’a de véritable équipe dédiée à la sécurité», indique Jeff Moss, fondateur de la conférence et également organisateur du rassemblement de pirates Def Con qui la suivra.

« Les criminels sont des génies pour déterminer comment utiliser ceci à mauvais escient», prévient-il, estimant que «le piratage du Jeep n’est que le début ». Une allusion à la récente prise de contrôle à distance par deux chercheurs d’un Jeep Cherokee, qui a conduit son constructeur Fiat Chrysler à rappeler 1,4 million de véhicules aux États-Unis.

Depuis un ordinateur portable à leur domicile, Charlie Miller et Chris Valasek s’étaient introduits dans le système électronique de divertissement embarqué, qui est connecté à Internet. Ils avaient réussi à manipuler la radio, les essuie-glaces, ainsi que la vitesse et le freinage.

« Nous sommes peut-être bons dans ce que nous faisons, mais c’était un projet pour la fin de semaine», a commenté Charlie Miller en présentant des détails de l’opération mercredi dernier dans une salle comble à Las Vegas. «Qu’est-ce que ça serait si nous faisions cela à temps plein, ou si nous étions payés pour cela?»

Charlie Miller, chercheur en sécurité chez Twitter, et Chris Valasek, qui travaille pour la société de cybersécurité IOActive, disent avoir creusé les problèmes présentés par les voitures connectées parce que les dangers physiques étaient évidents.

« Les constructeurs automobiles dépensent des millions de dollars pour la sécurité, et maintenant ceci est une part de la sécurité, que ça leur plaise ou non», a commenté Chris Valasek.

PORTES D’ENTRÉE

Si les spectaculaires piratages de voitures ou d’armes à feu attirent l’attention à Las Vegas, beaucoup de participants évoquent des dangers bien plus vastes.

Jeff Moss imagine par exemple qu’un grille-pain connecté soit piraté et serve de porte d’entrée pour une attaque, qui passerait ensuite par l’intermédiaire des connexions sans fil à d’autres objets connectés de la maison, comme l’équipement audio-vidéo, puis se transmettrait au domicile du voisin.

Les données collectées par les objets connectés peuvent servir à découvrir comment l es gens vivent ou leurs routines quotidiennes, des informations utiles pour des voleurs, par exemple. Les caméras de ces appareils peuvent aussi être activées pour espionner des moments intimes que les victimes préféreraient garder privés.

Une partie du problème, c’est que les objets connectés, comme l’électroménager intelligent, par exemple, sont conçus pour durer, mais que leurs logiciels ne sont pas mis à jour, laissant aux pirates le temps de trouver et d’exploiter leurs failles.

« Nous nous précipitons vers un avenir où tout est connecté; rien ne peut être mis à jour, et tout va durer 10 ans, souligne Jeff Moss. Après, c’est un jeu de chiffres. À un million, c’est un problème; à une centaine de millions, c’est un désastre.»

Ce qui dérange particulièrement Jeff Moss, c’est la possibilité de pirater des compteurs intelligents. Les attaquants pourraient ainsi viser non seulement des domiciles individuels, mais aussi tout un réseau, peut-être en coupant et rallumant de manière répétée l’électricité dans tout un quartier.

L’essor des objets connectés risque de poser la question de la responsabilité des concepteurs de logiciels, prévient Jennifer Granick, directrice responsable des libertés civiles au Center of Internet and Society de l’Université de Stanford, qui intervenait à la conférence Black Hat.

Ils y ont jusqu’ici échappé, car la plupart des gens ne pensent pas à poursuivre le concepteur du logiciel quand leur ordinateur tombe en panne, mais les choses risquent de changer quand ce sera un accident de voiture, raisonne-t-elle.

«Un objet ayant maintenant un logiciel qu’il n’avait pas avant va nous exploser à la figure, estime Jennifer Granick. La responsabilité des [créateurs de] logiciels est inévitable, et elle est nécessaire.»

Les constructeurs dépensent des millions de dollars pour la sécurité, et maintenant ceci est une part de la sécurité, que ça leur plaise ou non — Chris Valasek, de la société de cybersécurité IOActive.

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Une nouvelle révolution sans fil

9 août 2015 – Source : La Presse+

(Les compteurs intelligents sont aussi à risque…)

Avec le WiFi, il n’est plus nécessaire de faire passer des câbles partout dans ses murs pour profiter de l’internet à haute vitesse. D’ici quelques années, on pourra aussi se passer des fils électriques, promettent des chercheurs.

« La transmission sans fil de l’énergie va fondamentalement changer le monde », explique Ke Wu, ingénieur électrique à l’École polytechnique. « C’est la troisième vague de l’utilisation des ondes, dit-il. La première était la transmission de données, de voix. La deuxième, les GPS et les capteurs paramétriques qui envoient des données sur les mouvements d’une voiture ou d’une personne, par exemple. L’“internet des choses”, la connexion et le contrôle à distance de tous les appareils domestiques, ne décollera qu’avec cette troisième vague. »

M. Wu, qui travaille sur la prochaine génération de transmission de l’électricité sans fil, a été élu président 2016 de l’Institut des ingénieurs électriques et électroniques (IIEE), principale organisation internationale de ce type de génie.

« On peut déjà transmettre de l’électricité sans prise électrique, dit M. Wu. On dépose simplement les téléphones portables sur une plaque pour les charger. Pour la transmission à distance, on a des limites de l’ordre de quelques centaines de watts et une distance maximale de l’ordre d’une dizaine de mètres avec la technologie actuelle, la résonance couplée. C’est parfait pour l’internet des choses. Il y aura probablement aussi une alimentation hybride, à la fois par transmission sans fil de l’énergie et en tirant profit de l’énergie mécanique, par exemple le corps qui bouge. »

En 2008, les principaux fabricants de produits électroniques, notamment les téléphones portables, ont créé le Wireless Power Consortium pour mettre au point des standards communs d’alimentation à distance. Cinq ans plus tard, le Wireless Power Consortium présente dans un rapport les projets de recherche en petits électroménagers de cuisine – notamment un mélangeur de Haier et un comptoir mis au point par Philips permettant de transmettre de l’électricité (sans danger pour le cuisinier) à une foule d’appareils comme un batteur, un mélangeur et un grille-pain.

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Manifestation à Montréal le 6 septembre – Assez c’est assez Hydro-Québec


Manifestation à Montréal le 6 septembre
à 13:00 – 16:00

Lieu : Siège social d’Hydro-Québec
75, boul René-Lévesque, Montréal
Détails: http://on.fb.me/1J1uJWP

MANIF – MONTRÉAL

À la demande de tous nous sortirons dans les rues et manifesterons notre colère… pacifiquement!

Profitons du long congé de la fête du travail!

– Non à la hausse de 1,9%;
– Non à la privatisation;
– Non aux compteurs intelligents;
– Non aux frais de refus;
– Non à la ligne de 735Kv;
– Non aux éoliennes;
– Non aux rabais du secteur privé;
– Non au paiement de la dette via Hydro-Québec;
– Non à la vente de nos biens et investissements;
– Non aux bonus et aux primes de départ indexées;
– Non à la corruption.

Revendication:
– Réduction des tarifs résidentiels;
– Élargir le mandat du Protecteur du citoyen en cas de litige;
– Que la Régie soit aux services des citoyens;
– Retrait des nouveaux compteurs;
– Remboursement des frais de refus et des frais de relèves;
– Remboursement des trop-perçus;
– Respect de la charte des droits et libertés du Québec et des droits de l’homme;
– Enquête publique sous l’égide du Bape;
– Diminution des intérêts de 14% à 3%.

Pour plus d’informations à propos de la manifestation rendez-vous sur la page Facebook de l’événement organisé par le groupe « Debout contre Hydro-Québec » : http://on.fb.me/1J1uJWP

jeudi 6 août 2015

Compteurs intelligents et propane: 25 000 installations électriques jugées non conformes au Québec

4 août 2015 – Source : Journal de Montréal

Tout près de 25 000 résidences au Québec possèdent une installation électrique jugée non conforme en raison d’un compteur intelligent situé trop près d’un réservoir fixe de propane.

Hydro-Québec dénombre jusqu’à présent plus de 24 760 résidences dont la distance entre le réservoir fixe de propane et le compteur intelligent ne respecte pas les normes de la Régie du bâtiment (RBQ).

Pour qu’une installation électrique extérieure soit conforme, il faut compter une distance de dégagement d’au moins trois mètres (près de 10 pieds) entre un compteur intelligent et un réservoir fixe de propane.

Les bonbonnes de propane de BBQ ne sont pas en cause.

Après avoir mis en branle un vaste programme de recensement le printemps dernier, Hydro-Québec dit avoir inspecté plus de deux millions d’installations électriques comportant un compteur de nouvelle génération.

Pour savoir si ses compteurs représentent un risque réel près de réservoir de propane, Hydro-Québec a mandaté des chercheurs de l’IREQ pour mener des tests.

«La phase de test est complétée. Les conclusions sont en cours de rédaction. Les résultats préliminaires devraient être disponibles d’ici la fin de l’été», a indiqué mardi le porte-parole d’Hydro-Québec, Serge Abergel.

Une fois les résultats connus, Hydro-Québec tiendra des discussions avec la RBQ et l’Association québécoise de propane.

Entre-temps, Hydro-Québec dit avoir désactivé la fonction de débranchement à distance de tous ses compteurs intelligents installés à l’extérieur au Québec.

La RBQ aux aguets

«C’est un dossier que nous suivons de près», a fait savoir mardi la porte-parole de la RBQ, Marie-Claude Masson.

Selon la RBQ, la fonction de débranchement à distance des compteurs intelligents représente un risque potentiel de déclencher des arcs électriques en présence de gaz propane à l’air libre. Ce qui pourrait provoquer un incendie.

La RBQ n’a toutefois pas l’intention de distribuer des avis de non conformité aux propriétaires de résidences dont les installations électriques sont jugées pour le moment non conformes.

La RBQ a l’intention d’attendre les résultats des tests avant de prendre une décision finale dans ce dossier.

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Saint-Cyrille-de-Wendover : Branchés à Hydro trois mois plus tard!

5 août 2015 – Source : TVA Nouvelles

Il aura fallu trois mois et l’intervention de TVA Nouvelles pour que la nouvelle résidence d’un couple de Saint-Cyrille-de-Wendover près de Drummondville soit raccordée au réseau d’Hydro-Québec.

Les propriétaires qui ont formulé leur demande à Hydro il y a plus de trois mois ont l’électricité depuis 15h15 mercredi après-midi. La société d’État n’avait pas bougé depuis ce temps.

Samuel Langelier et sa conjointe qui ont emménagé il y a cinq semaines dans leur maison neuve située dans un quartier résidentiel faisaient du camping. Ils n’avaient pas d’eau chaude, pas de four, pas de laveuse ni de sécheuse. Le couple exaspéré a communiqué avec TVA Nouvelles. Quelques heures plus tard, une équipe est intervenue.

La société d’État se défend. Hydro-Québec affirme que le passage de l’équipe était prévu. «C’était déjà sur la feuille de route de l’une des équipes», indique Lynda Laquerre, porte-parole d’Hydro-Québec. Le client soutient toutefois que lundi on lui aurait affirmé que le raccordement aurait lieu vers le 14 août.

«Un branchement temporaire a été effectué en raison de la complexité de l’opération. Il faut ajouter un transformateur, changer un poteau, interrompre le courant», explique Mme Laquerre. Hydro-Québec dit avoir fait preuve de diligence tout au cours du processus.

C’est un grand soulagement pour le couple qui avait fait preuve de débrouillardise. À l’aide de leur maitre électricien, ils avaient relié leur résidence à celle du voisin pour alimenter les appareils de 120 volts.

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Hydro-Québec: les compagnies de pylônes indignées

5 août 2015 – Source : Argent

MONTRÉAL – Les compagnies québécoises qui fabriquent des pylônes pour Hydro-Québec dénoncent les tactiques actuelles de la société d’État pour les forcer à abaisser leurs prix.

Elles jugent pouvoir livrer quatre fois plus de pylônes en acier que la demande annuelle et combler les besoins pour la nouvelle ligne Chamouchouane-Bout-de-l’île.

«On sait depuis 2008 qu’Hydro-Québec aura besoin du double de tonnages d’acier en 2016 et 2017. Nous avons agrandi notre usine du tiers, acheté des équipements modernes pour améliorer notre productivité. Et là Hydro-Québec ouvre le marché à l’international. On considère qu’elle nous place en compétition déloyale», s’est indigné mercredi Georges Guérette, vice-président de Fabrimet.

L’homme d’affaires déplore qu’Hydro-Québec ait choisi la période des vacances de la construction pour inviter dix fournisseurs pré-qualifiés, dont sept compagnies étrangères, à répondre à un premier appel de propositions pour la fourniture de 5000 tonnes d’acier. Elle aura besoin de 45 000 tonnes métriques d’ici la fin de 2017.

«Des employés inquiets ont appelé durant leurs vacances. Nous voulons les rassurer. Il n’y aura pas de mises à pied pour le moment. La suite sera en fonction de ce qui se passera. On n’a pas investi 12 millions $ pour rien. On va faire tout en notre pouvoir pour convaincre Hydro-Québec», a-t-il affirmé.

Hydro-Québec ne cache pas sa volonté d’obtenir des prix concurrentiels.

«Nous avons remarqué que les prix du Québec pouvaient être jusqu’à 40 % plus élevés dans certains cas. On veut tester le marché pour obtenir les meilleurs prix, pour les meilleurs critères de qualité», a expliqué Serge Abergel, porte-parole de la société d’État.

Serge Abergel rejette du même souffle que cette approche puisse favoriser la présentation de soumissions à prix de dumping.

«Si le produit [étranger] répond à nos critères de qualité, je ne vois pas pourquoi on ne le considérerait pas. On va passer à travers un ensemble de facteurs, incluant les retombées économiques et la création d’emplois au Québec. On veut une relation d’affaires à long terme avec des gens qui vont offrir du service et des produits de qualité», a-t-il dit.

La question des prix irrite fortement Michael Cyr, président et chef de la direction de Locweld, dont l’entreprise fournit Hydro-Québec en pylônes depuis 20 ans.

«C’est sûr que les étrangers ont de meilleurs prix qu’au Québec. On compétitionne avec des sociétés qui paient leurs travailleurs 1 $/ l’heure. On ne reçoit ni subventions, ni congés de taxes de la part de nos gouvernements», a-t-il rétorqué.

Le PDG de Locweld estime qu’avec la faiblesse du dollar canadien, si une entreprise peut soumissionner plus bas de 10 % à 15 % que les entreprises québécoises, c’est au niveau de la qualité des produits et des délais de livraison qu’Hydro-Québec y perdra.

«Hydro-Québec veut faire des économies de bouts de chandelles qui risquent de provoquer des pertes d’emploi», a renchéri Georges Guérette, de Fabrimet.

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Les énergies renouvelables, un approvisionnement au Québec rentable pour tous les Québécois

5 août 2015 – Source : Journal l’Avantage

Hausse tarifaire d’Hydro-Québec

L’Association québécoise de la production d’énergie renouvelable (AQPER) tient à mettre au point la question de l’apport des énergies renouvelables dans le cadre du dépôt de la demande de hausse tarifaire d’Hydro-Québec à la Régie.

Un survol de la documentation fournie par la société d’État démontre que l’apport de l’achat d’énergies renouvelables semblerait représenter moins de la moitié des dépenses en nouveaux approvisionnements. Rappelons que la part des énergies renouvelables dans ceux-ci a des retombées directes sur l’économie québécoise.

« Lorsqu’on évalue les coûts de l’énergie éolienne, il faut prendre en considération l’ensemble des variables : la réduction des importations requises pour répondre à la demande de pointe, la valeur de la « prime verte » qu’elle obtient sur les marchés américains, l’évolution des coûts de production et les bénéfices économiques qu’elle apporte, soit en retombées, soit en économies directes grâce à la substitution. Dans ce contexte, l’approvisionnement en énergies renouvelables est un investissement largement rentable pour tous les Québécois », a indiqué Jean-François Samray, président-directeur général de l’AQPER.

Au niveau de la réduction des importations, rappelons que l’éolien produit plus en hiver qu’en été. Sur cette base, c’est une énergie d’appoint fort utile en période de grands froids. Il serait donc intéressant de pouvoir évaluer quelle aurait été l’importation réelle d’énergie en 2014-2015, qui a été un des 20 hivers les plus froids de l’histoire du Québec. Cela permettrait d’établir les bénéfices de l’éolien dans le contrôle de la hausse des tarifs.

Dans son décret du 22 juillet dernier, le gouvernement a demandé à Hydro-Québec de se pencher avec plus d’attention sur la question des attributs environnementaux. En effet, puisque, contrairement à l’électricité provenant des grands barrages, l’éolien est reconnu comme énergie propre par les Américains, il est admissible aux Renewable Energy Certificates (RECs), « prime verte » qui atteint aujourd’hui les 5,0 ¢US/kWh. Présentement, HQ, propriétaire des attributs environnementaux, n’a fait inscrire que 3 parcs éoliens sur 35 au programme des RECs.

En 2014, le dernier appel d’offres a établi à 6,3 ¢/kWh le prix de l’éolien. En comparatif, le coût de l’énergie hydroélectrique produite au projet La Romaine est estimé à 6,4 cents (le coût final pourrait même être supérieur).

Quand les énergies renouvelables remplacent de l’électricité produite à partir du pétrole à un prix pouvant aller jusqu’à 100 ¢/kWh, comme dans le cas des centrales thermiques dans le Nord québécois, nous sommes toutes et tous gagnants. L’environnement aussi y gagne, car les quelque 65 millions de litres de produits pétroliers brûlés annuellement par ces centrales génèrent annuellement autant de GES que 71 000 voitures ! La substitution est possible. En seulement sept mois, l’éolienne installée à la mine Raglan a réduit la consommation de diesel d’un million de litres.

« Rappelons que la filière éolienne québécoise se développe depuis près de 15 ans. Elle crée 5000 emplois au Québec, dont 1200 directs en Gaspésie et dans la MRC de la Matanie et près de 1000 dans la région de Montréal. Lorsqu’Hydro-Québec s’approvisionne en énergie éolienne produite ici, ce sont des milliers de familles qui bénéficient des retombées et toute une société qui s’enrichit », conclut monsieur Samray.

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